Sous les profondeurs de l’eau,
Dorment aux coins des mâchoires,
Quelques perles et idéaux,
Que les vagues polissent dans le noir.
Les écumes peuvent parfois sembler joyeuses,
Quand aux coins tremblants du regard,
Dans les mangroves marécageuses,
Les quelques lanternes se font rares.
Si sous les algues, la plus scintillante,
Parfois s’obstrue lorsqu’il fait tard,
C’est car du haut de mes filantes,
J’en perds parfois la vue du phare.